ARCHEOLOGUES DE L'INTERDIT (LES)
La Malédiction de Smenkharé

La tombe de Smenkharé, le prédecesseur de Toutankhamon, vient d’être découverte quelque part en Syrie. Des mercenaires font tout péter, négligeant la relique qu’ils viennent de mettre à jour. Nicolaï essaie d’arrêter leurs actes de vandalismes, après tout, la tombe qu’il pourrait découvrir risque de lui apporter une petite fortune.
Quelques temps plus tard, à Paris. Alexandra se trouve dans un des musées de la capitale. Le directeur lui montre un des objets provenant des anciens collections du Musée de l’homme, c’est une amulette, une clé qui permet d’ouvrir le tombeau de Smenkharé. Il aurait reçu un message de l’adjoint du professeur Saul, le prévenant que la sépulture vient d’être découverte… Alexandra se rend sur place pour lui remettre le paquet en main propre. Au Caire, elle retrouve un certain Richard qui va l’accompagner dans sa mission…

Par berthold, le 15 juin 2017

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Notre avis sur ARCHEOLOGUES DE L’INTERDIT (LES) #1 – La Malédiction de Smenkharé

Ce récit nous renvoie aux grandes heures de l’aventure, façon pulp, Indiana Jones.

L’auteur nous entraine dans une aventure incroyable, étonnante, où l’on ne s’ennuie pas un seul instant.
L’intrigue est bien amenée, elle nous réserve de bonnes surprises et nous fait suivre des personnages fort sympathiques. Même les "méchants" ont un caractère sympa (d’une certaine façon).
Auffret nous entraine dans divers endroits bien dépaysant. Bien sûr, il place son récit dans un contexte actuel où des terroristes, des fanatiques, détruisent tout sans aucune notion de la valeur culturelle, entre autres, de ce qu’ils ont en face d’eux.

Le dessin d’Auffret peut étonner certains lecteurs, mais il est efficace et reste parfait pour ce genre d’aventures. Les personnages ont leur propre physionomie, assez simple et caricaturale, mais cela fonctionne très bien. Il y a même un petit air de Mike Mignola, lorsque vous regardez les décors où certaines momies.

Les Aventuriers de l’Interdit
rapelle Les Aventuriers de l’Arche perdue, ce qui est plutôt une très bonne chose pour ce divertissement de qualité.
Une oeuvre qui vous incite à vivre l’aventure, la vraie !

 

Par BERTHOLD, le 15 juin 2017

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