BOB MORANE
Snake
A Bruxelles, de nombreux accidents dus à la morsure de serpents exotiques sont malheureusement à recenser. La police bruxelloise dépêche le docteur Blackie Van Herp, herpétologiste, pour enquêter sur ce phénomène inquiétant et en informe également Bob Morane et Bill Ballantine de passage dans la capitale belge.
Toutefois, lors de l’examen du sac d’une victime, le spécialiste en reptiles et Bob font une terrifiante constatation : quelqu’un s’ingénie à créer le chaos en attisant des serpents importés clandestinement sur le sol de la Belgique. Ne serait-ce pas l’oeuvre d’une secte adoratrice du thème du serpent ?
Par phibes, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2803607360
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Notre avis sur BOB MORANE #21 – Snake
Henri Vernes nous revient avec une intrigue qui touche au monde reptilien. Après avoir donné de la machette contre un serpent gigantesque dans les marécages d’ Okefenokee, nous retrouvons Bob Morane face à la menace d’une invasion de reptiles venimeux de tailles plus réduites orchestrée par des fanatiques de Néhustân, le serpent d’airain biblique.
C’est lors d’une promenade nocturne au sein du quartier de la chaussée d’Anvers à Bruxelles en cours de rénovation que la nouvelle aventure de notre agent extraordinaire débute. "Snake" est le nom d’une belle haïtienne que vont croiser Bob et Bill et qui a la particularité de porter un bijou ras du cou … vivant et dangereux.
Cet épisode se lit sans problème et s’intègre parfaitement à la longue liste des productions du tandem Vernes/Coria. L’intrigue est cependant légère et traîne souvent en longueur lorsque nos deux héros poursuivent inlassablement des individus peu recommandables soit dans des quartiers délaissés ou dans les souterrains inextricables.
On appréciera la large galerie de personnages croqués. En particulier, se détachent du lot l’homme aux mains écaillées dont l’apparence est assez énigmatique ainsi que bien sûr la belle Félicité.
Cet album, sans être un must en la matière, s’aborde avec plaisir surtout pour le travail toujours exemplaire de Coria.
Par Phibes, le 18 juillet 2007