BOUNCER
Un diamant pour l' Au-delà

La confédération sudiste n’est plus, mais une petite armée croit encore en la victoire. Pilleurs et violeurs ces soldats sont dirigés par le capitaine Ralton qui un beau jour décide de dissoudre sa division. Le voilà à son compte pour résoudre une vieille histoire de famille. Sans aucune pitié il assassine son frère et sa belle soeur sous les yeux de Seth, jeune homme de 15 ans qui devra se réfugier suite aux conseils de son père auprès d’un certain « Bouncer ».

Par aub, le 1 janvier 2001

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2 avis sur BOUNCER #1 – Un diamant pour l’ Au-delà

Encore une BD de western me direz vous… peut être mais encore une à ne pas manquer vais-je vous répondre. Une histoire qui n’a de cesse de nous surprendre, des rebondicements à chaque page, orchestrés par la main de maitre de Jodorowsky, sous un coup de crayon du grand Boucq. La réunion de ces deux grands noms de la BD est une réussite. Une fois de plus : vivement la suite.

Par AUB, le 1 janvier 2001

On est bien loin du mysticisme de la fin de la série Juan Solo, ou bien du scénario alambiqué de L’incal, non, ici point de tout ça. Seulement un western, tout du moins en apparence. Mais mettre Jodorowsky et Boucq sur une même couverture, cela peut souvent se révéler fantastique. Et si ce n’est pas à proprement parler fantastique, c’est en tout cas une très bonne bande dessinée. A vrai dire, les délires de Jodo ne me font pas souvent chavirer, tant souvent un peu trop … torturés pour ma part. Mais The Bouncer est suffisamment classique pour attirer mon regard et mon envie, et du coup c’est avec grand plaisir que j’ai lu cet album, qui m’a permis de retrouver le dessinateur Boucq. Ce dessinateur est vraiment très bon dans les dessins « réalistes » à mon humble avis, ce qui ici correspond vraiment au besoin du scénario.
Pour moi, ce couple d’auteurs est vraiment génial. Une autre de leur collaboration, la série Face de Lune, était pour ma part vraiment superbe, même si elle était encore plus mystique que The Bouncer, qui comporte quelques petits aspects que Jodo ne peut s’empêcher de placer dans certaines de ses oeuvres, à savoir la religion, la vengeance, etc etc. Mais au final, je conseille The Bouncer aux amateurs ou non de Jodo, et pour ceux qui voudraient se faire un gros plaisir en lisant cet album qui est plus qu’un western…
Si le western classique était un plat de spaghetti, The Bouncer, ce serait ça aussi … la bolognaise en plus ;o)

Par Siam l'Archiviste, le 28 juillet 2003

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