BOUNCER
La pitié des boureaux

Ralton et ses hommes continuent de semer la terreur dans la région, après la destruction du coffre d’une banque, ils s’en prennent à une diligence ou tout le monde est massacré sauf une passagére, la ravissante Déborah. Celle-ci sera sauvée du viol et de la mort par Ralton qui abbatra même l’un de ses hommes pour la protéger. Elle sera relachée et arrivera au village de Barro City ou elle prendra la direction de l’école de manière bien tumultueuse.

Loin de là, Bouncer le manchot initie son neveu Seth au maniement des armes et a une longue éducation sur lui même…

Par aub, le 1 janvier 2001

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3 avis sur BOUNCER #2 – La pitié des boureaux

Le tome 1 de Bouncer m’avait déjà enormément plu, et je dois dire que ce tome deux est très fort aussi… Mes espérances sur la suite sont très largement comblées et même si j’ai réussi a trouver le dénouement avant la fin, je conseil ce western a tous les amateurs.

Boucq a toujours un coup de crayon très travaillé et les grandes cases qui jallonent les pages de cet album sont magnifiques. Quand au scénario, il m’a ennormément plu et est digne des plus grand westerns.

Par AUB, le 1 janvier 2001

J’ai lu cette série sur les conseils d’Aub…et je ne l’ai pas regretté !
Un régal ! Le scénario est fantastique ! Pourtant, bien des ficelles ont déjà été utilisées en matière de Western !
Le dessin n’est pas dans mes habitudes, mais comme pour toutes les excellentes BD, il ne m’a pas empêché d’adorer !!!

Par MAT, le 1 janvier 2001

Deuxième et dernier tome de The Bouncer, qui clôture en beauté cette série. Certes, deux tomes ce n’est pas grand chose, mais cela suffit. Quand on peut faire bon en deux tomes, pourquoi s’étaler en 10 ? Le couple Jodorowsky/Boucq me plait toujours autant. Il faut dire que le trait de Boucq est précis, détaillé, et se sublime dans les grandes planches. De plus, dans un western, l’ambiance est souvent un peu crade, boueuse, et Boucq rend cela à merveille, même si les couleurs y sont pour pas mal également. Quant au scénario, il n’y a strictement rien à dire, c’est un bon Western, et Jodo n’a pas inventé la poudre dans le genre. Son histoire marche, elle a le petit plus qui l’a rend intéressante, mais ce n’est pas non plus la panacée. C’est très agréable et on en demande pas plus… ca donne surtout envie de relire Face de Lune du même couple d’auteurs, pour ceux qui connaissent ;o)

Par Siam l'Archiviste, le 28 juillet 2003

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