CORTEGE DES CENT DEMONS (LE)
Tome 6

Les écailles bleues :

Parce qu’il y a senti des forces négatives les premiers jours, Ritsu ne se rend plus dans l’établissement scolaire dans lequel il a été inscrit. Son absence, très remarquée, intrigue les autres élèves, et tout particulièrement une fille qui cherchera alors à le rencontrer…

La malle en osier :

La mère de Ritsu qui enseigne l’art de la cérémonie du thé a parmi ses élèves une fille qui se fait accompagner par un vieil homme. Celui-ci porte avec lui un panier d’osier scellé que personne ne doit ouvrir. Le vieil homme va se blesser et sera accueilli pour plusieurs jours chez Ritsu. Pour lui, Ritsu fera d’ailleurs un jour le messager : il devra porter de l’argent à la famille du vieil homme, de la famille dont les affaires autrefois florissantes ne marchent plus guère. Surpris par cet inattendu don provenant d’un membre de la famille perdu de vue, l’un des heureux destinataires voudra rencontrer le donateur. En arrivant chez Ritsu, il verra le panier d’osier de celui qu’il venait voir, et l’ouvrira…

Les poupées funéraires :

Pour revivre, les esprits ont parfois besoin de corps d’humains. Et parfois, ces esprits sont gourmands, ou bons négociateurs. Dans une famille qui a vécu un drame, un pacte a été passé avec l’un de ses esprits. Quand Ritsu et sa cousine ont été attirés par une fille de cette famille dans sa maison, ils étaient loin de penser qu’ils allaient être monnaie d’échange…

L’antre du démon :

Il existe un tertre au pied duquel les gens font des offrandes pour voir se réaliser leurs vœux. Et il paraît que ça marche ! Jugez-en : deux jeunes gens voulaient se marier, mais leurs parents ne voulaient pas. Il sont allés déposer une offrande. Quelques jours plus tard, leurs parents mouraient…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CORTEGE DES CENT DEMONS (LE) #6 – Tome 6

En tant que lecteur de ce manga, on a comme Ritsu la faculté de voir les esprits. Si c’est une sorte de pouvoir qui nous est accordé, c’est aussi un atout déroutant voire trompeur dès lors qu’on ne sait plus, au premier coup d’œil, si le personnage que l’on voit est réel ou est "yokai". Cet état des choses fait que la lecture des épisodes du Cortège des cent démons est parfois rendue un peu difficile et fait peut-être perdre parfois de la saveur à la lecture, même si les dénouements d’histoire nous font généralement retomber sur nos pieds et comprendre !

La difficulté évoquée ci-dessus est d’autant plus vraie que, quand, en plus, le cercle des personnages récurrents change ou s’élargit (comme c’est le cas dans le 4ème épisode), on perd encore plus de repères !

Malgré les méandres scénaristiques, on commence, depuis 6 tomes déjà, à soupçonner parfois assez vite où Ichiko Ima, la mangaka, veut en venir. Ou au moins quelles ficelles elle va tirer. Pardi ! Que pouvait-il y avoir d’autre qu’un esprit dans une boîte d’osier scellée qu’il ne fallait absolument pas ouvrir, hein ?! ^^

Egale à elle-même, la série continue son petit bout de chemin, portée par un agréable dessin qu’il est bon de retrouver à chaque nouveau tome !
  

Par Sylvestre, le 25 avril 2007

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