DOSSIER A.
L'église du feu éternel
Yuli s’est faite enlever, et pour la libérer, Iriya est contraint de résoudre une énigme relative au mystère de « l’église du feu éternel », en Croatie. Dans sa quête, il va faire une découverte extraordinaire dont d’autres minimiseront l’importance, comme pour mieux se l’accaparer… ou tout simplement pour le mettre au défi de prouver qu’il a raison, lui, l’archéologue déchu…
Par sylvestre, le 10 février 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756018454
Notre avis sur DOSSIER A. #2 – L’église du feu éternel
A la recherche de l’un des plus grands mythes (l’Atlantide), les personnages de ce manga sont lancés dans une quête qui semble vouloir les faire se frotter à tous les autres mystères non élucidés qu’offre l’Histoire de l’Humanité et à toutes ces questions restées sans réponse, ces questions motivant les passions des archéologues et autres chercheurs de trésors en tous genres.
Comme dans tout manga qui respecte ce genre (l’aventure… "thématique"), le casting est taillé sur mesure, proposant une concentration non négligeable de protagonistes tous connaisseurs et tous mus par un même désir devenant source d’une compétition acharnée.
Ce côté "exploitation du thème ad nauseam" du récit gênera peut-être ceux qui ne sont pas habitués à ce type de narration manga, à ce genre de livre où tout nous plonge dans l’univers que créent les auteurs pour y immerger leurs lecteurs. Il a néanmoins ce petit côté agréable "touche-à-tout" qui explore abondamment le sujet et qui prouve que les auteurs ont planché sur leur sujet. C’est ainsi également que les lecteurs pourront être touchés parce que sur la quantité, il y aura bien un voyage, un savoir ou un souvenir qui les reconduira à leur propre expérience. Cela incitera en outre certains lecteurs à creuser tel ou tel sujet qu’ils auront découvert dans un volume ou dans un autre.
Dossier A. prend quelques airs de Détective Conan "pour les plus grands" et la petite énigme des moines et des ogres rappelle, elle, les triangles d’allumettes des Fourmis de Bernard Werber. Mais au-delà de ces références, ce manga se forge une personnalité propre et se fait un dossier… qu’on n’a pas envie de refermer de sitôt !
Par Sylvestre, le 10 février 2010
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