DOSSIER A.
L'inaccessible vérité
En Sardaigne, le professeur Gemma a découvert un artéfact d’une importance telle qu’il ne veut le montrer à personne avant d’avoir pu le présenter à Mr. Waird, grand mécène des recherches liées à l’Atlantide qui a permis sa découverte en finançant ses travaux. Mais malgré toutes les précautions qu’il a prises, Gemma va être traqué par des inconnus intéressés par sa découverte…
Iriya et Demer vont partir à sa recherche et une fois de plus, des morts viendront baliser cette quête autour du mythe de la tant convoitée Atlantide, autour de cette énigme dont certains comme le dénommé Greco auraient, paraît-il, toutes les clés de compréhension…
C’est à Venise qu’une nouvelle enquête liée s’ouvrira pour Iriya. Elle le mènera jusque sous le palais des Doges grâce à un aspirant gondolier prénommé Marco, tout comme Marco Polo ou le Saint-Patron de la ville…
Par sylvestre, le 1 décembre 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756019758
Notre avis sur DOSSIER A. #5 – L’inaccessible vérité
Aimer l’archéologie, en fait, c’est aimer faire des puzzles et aimer aussi avant tout partir à la recherche des pièces qui devront le composer ! La série manga Dossier A. met à l’honneur cette discipline en construisant autour du mythe de l’Atlantide une intrigue dont chaque étape-énigme permet aux auteurs de nous faire découvrir des sites d’intérêt. La réussite du titre est que les réflexions des personnages et les résultats des recherches qu’ils font tendent à semer un peu le doute et donc à donner l’illusion que la vérité peut finir par être faite sur la mystérieuse Atlantide…
Ce cinquième volume se décompose en trois parties. La première nous emmène en Sardaigne où le professeur Gemma a exhumé une statuette d’amazone en laiton digne d’intérêt pour les protagonistes. La seconde offre une petite parenthèse concernant Mr. Waird et les rapports qu’il a avec sa famille. La troisième enfin nous re-dépayse en nous emmenant à Venise où d’autres pièces du puzzle sont sans aucun doute à trouver pour le héros Iriya.
Cet opus se lit très bien même si la formule reste invariablement la même : faire avancer la quête à coups de dictons et de légendes interprétés originalement, à coups d’intuition et de sang froid, aussi. Dossier A. conserve les qualités qu’on lui connaît depuis le début : du rythme, de très jolis dessins et une originalité toute (pseudo, mais voulue) culturelle.
Partez vous aussi à la découverte d’un patrimoine culturel original. L’Atlantide ? Oui, mais en l’occurrence la série manga Dossier A., aussi !
Par Sylvestre, le 1 décembre 2010
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