DREAMLAND
Symphonia
A Dreamland, il est une île qui rassemble un monde fou. C’est l’île éphémère… Car lorsqu’elle apparaît, c’est que le top départ de la Célestiafest est donné. Et pour y participer, il faut savoir se frayer son chemin sur l’île jusqu’en son centre où la tour de l’oubli est l’ultime passage à franchir.
De nombreuses équipes se sont formées qui souhaitent aller à la Célestiafest. Certaines s’étofferont sur le trajet, d’autres connaîtront des scissions… Des voyageurs, des rêveurs, des voyageurs noirs, des voyageurs killers… Beaucoup aspirent à être de la fête…
Il y a l’équipe de Naora et de Lion à laquelle s’est jointe l’Indienne Flam, par exemple. Celle des Météors, aussi. Celle des Samourays, voire d’autres dont l’effectif est réduit à une seule personne comme c’est le cas de celle de Sacha…
Autant de candidats à l’accès à la Célestiafest, croyez-moi, c’est autant de rencontres musclées à redouter pour les uns et pour les autres… Car un nombre limité de portes permet d’accéder au centre de l’île éphémère, et à chaque fois que l’une d’entre elles est franchie, elle disparaît !
Par sylvestre, le 5 novembre 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782811604509
Notre avis sur DREAMLAND #10 – Symphonia
Une des pages en couleurs en début de livre montre, manuscrites, les paroles d’une chanson. Et le titre du tome, c’est "Symphonia". Pas étonnant puisque dans sa postface, l’auteur Reno Lemaire dit qu’il a voulu orchestrer ce dixième volume en lui donnant justement le rythme d’une chanson… Il y écrit aussi qu’il a voulu en faire un tome un peu à part, différemment disjoncté, comme l’avait été ressenti le T5 par le public à l’époque de sa sortie !
Et il est vrai que ce volume 10 colle à ce cahier des charges, nous présentant une multitude de personnages lancés vers un même but : la Célestiafest. Gros casting, donc, avec plein de nouveaux personnages et donc forcément plein d’interactions, aussi. Un peu comme dans un jeu vidéo où il y a des concurrents à éliminer avant d’atteindre l’objectif. La Célestiafest ne pouvait-elle pas accueillir tout le monde ? A croire que non. Donc, en attendant, l’île éphémère de Dreamland (qui est beaucoup plus à l’honneur que le monde réel dans cet opus) devient une sorte de plateau de jeu, avec différentes zones : ces zones que les personnages doivent traverser ou atteindre pour se présenter à la tour de l’oubli. Plateau de jeu ou carte géographique : on la retrouve à plusieurs reprises dans le récit ; elle apparaît aussi sur la couverture, sous la jaquette.
A noter qu’en début d’ouvrage, il y a moins de pages pleines en couleur. Moins que d’habitude. Par contre, on trouve quelques pages en noir et blanc dans lesquelles des incrustations couleurs ont été faites, comme sur l’extrait présenté. Et c’est bien original, c’est du meilleur effet : bravo !
Bravo enfin aussi à Reno Lemaire qui fête son tome 10 et qui le voit pour l’occasion décliné en une version collector, mais aussi parce qu’il passe au-delà de la 2000ème planche de sa série Dreamland ! Une série qui a donc les reins solides et qui pourrait les solidifier encore plus du fait qu’avec ce tome 10 on a entamé un nouveau cycle.
Par Sylvestre, le 5 novembre 2011
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