HAUTEVILLE HOUSE
L'Ordre de l'obsidienne
1865.
Gavroche, accompagné de Zelda et de Désiré Charnay, ainsi que de Spillett, ont conclu un accord avec un bandit mexicain pour pouvoir découvrir les secrets de l’Ordre de l’Obsidienne. L’Ordre est une confrérie secrète qui fut crée dès l’Antiquité; dont le but est de garder les portes de téléportation.
Mais, d’autres se sont lancés à leur poursuite ! L’agent Cooper est prêt à tout pour les retrouver et les éliminer…
Par berthold, le 1 février 2016
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756065021
Notre avis sur HAUTEVILLE HOUSE #13 – L’Ordre de l’obsidienne
L’Ordre de l’Obsidienne est le titre du treizième tome de la série Hauteville House.
Fred Duval arrive à ouvrir de nouvelles portes, de nouvelles pistes, dans ce tome où l’on suit avec plaisir Gavroche et Zelda dans cette nouvelle aventure pleines de rebondissements et de coup de théâtres.
En effet, le scénariste de Mousquetaire arrive à renouveler ce western uchronique, tout en surprenant le lecteur.
Nous allons avoir quelques révélations dans ce tome. Nous apprendrons le pourquoi du siège d’El Alamo, que depuis l’Antiquité, l’Ordre agit, mais surtout nous allons avoir de très bonnes scènes d’actions et de poursuites dans les airs entre divers vaisseaux volants.
L’intrigue est bien tenu. De plus, croiser des monstres aquatiques, de confédérés, des mexicains, des agents français et bien d’autres encore dans un récit se déroulant en 1865 quelque part dans les Amériques, cela ne peut être que jouissif !
Et c’est le cas.
Thierry Gioux est toujours au dessin, accompagné par la talentueuse coloriste Nuria Sayago. Et cette fois-ci, Emem (Carmen McCallum) rejoint la joyeuse équipe pour s’occuper du story-board.
Le style de Gioux fonctionne à merveille dans ce nouveau tome. L’amateur y trouvera de bonnes idées graphiques, de bonnes gueules parmi certains personnages, de belles scènes d’actions, des grands espaces, etc.
Le lecteur n’est pas déçu par la qualité de ces pages.
Bref, un tome, digne d’une Série B, qui procure du plaisir à la lecture et qui donne envie de prolonger l’aventure d’Hauteville House. Vivement la suite !
Par BERTHOLD, le 1 février 2016