HAUTEVILLE HOUSE
Destination Tulum

1864. L’Empereur Napoléon III règne sur la France. Il a envoyé des troupes au Mexique pour accaparer un trésor Maya. Celui-ci confèrerait un pouvoir qui lui permettrait d’écraser les Anglais et les Prussiens. Il profite donc de la guerre civile qui sévit en Amérique du Nord et du chaos au Mexique.
Gavroche, agent de la résistance, a trouvé un livre qui pourrait lui permettre de trouver cet "objet" avant les troupes impériales. Mais ces derniers sont sur ses traces.
Quand à Eglantine, on lui confie sa première mission…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Publicité

2 avis sur HAUTEVILLE HOUSE #2 – Destination Tulum

Ca repart sur les chapeaux de roue dans ce deuxième tome, pour notre plus grand plaisir. Aucun temps mort tout au long de la cinquantaine de pages!

On alterne bien entre action et "réflexion" : Fred Duval distille les informations petit à petit ; on découvre, en même temps que Gavroche, les dessous de la légende, et c’est très agréable.
Tout est savamment orchestrée, jusqu’à la fin qui, bien entendu, fait immédiatement regretter de devoir attendre le tome 3.

Côté dessin, c’est encore du tout bon : l’action est l’impide, on ressent bien le mouvement (et dieu sait qu’il y en a!), les plans sont magnifiques et les prises de vues impeccables.
Surtout, Gioux crée un univers incroyablement riche graphiquement : la technologie, les paysages, les costumes d’époques (les robes comme les tenues militaires), tout cela est superbement travaillé.
Le tout est agrémenté par une excellente mise en couleur (j’adore! Bravo à Carole BEAU)

J’ai découvert cette BD sur le tard, mais je crois, comme Berthold, qu’elle deviendra très bientôt une star de "Série B"!

Par PATATRAK, le 18 août 2005

Voila le tome 2 tant attendu de Hauteville House, une des bonnes surprises de l’année dernière.

Ce tome 2 confirme tout le bien qu’on pensait lors de la lecture du 1er tome. Pas de temps morts, que de l’action. Avec des scènes magnifiques tel que l’attaque du dirigeable "Santa Anna" sur le véhicule de Gavroche et ses compagnons ou l’attaque des hommes "volants" au début.
Quelques scènes peuvent rendre hommage au western-spaghetti comme celle de la charge des soldats mexicains décimés par l’ami de Gavroche avec sa mitrailleuse (comme dans DJANGO de Corbucci?)

L’univers de Hauteville House est d’une grande richesse graphique, rempli de bonnes idées. Comme lorsque Eglantine demande un renseignement et où l’on voit la "base de données", ça m’a bien plu.
Très belle couverture signé Manchu et Gioux.

Bref, une série incontournable du label "Série B". Et, comme qui dirait, vite la suite !

Par BERTHOLD, le 25 mai 2005

Publicité