KEN-ICHI
Le disciple ultime

Un admirateur de Ken-Ichi s’est inscrit dans un dojo afin de devenir aussi fort que lui. Ses progrès sont fulgurants, mais il a tendance à s’exercer sur des gens qui ne lui ont rien demandé, lorsqu’il est à l’extérieur, et donc à répandre le mal autour de lui. Ken-Ichi va aller visiter le dojo en question et va découvrir avec dégoût que les valeurs qui y sont enseignées sont loin d’être celles, nobles, des véritables arts martiaux. Il va alors défier le maître des lieux, et sera surpris lorsque celui-ci se présentera comme étant un ancien maître du dojo Ryozampaku !

Après ces événements, un autre viendra animer le dojo où Ken-ichi suit sa formation : Renka Ba, la fille de l’un des cinq maîtres, est venue rendre visite aux résidents du dojo Ryozampaku. Entre elle et Miu, le courant passe mal. Et par-dessus cela, deux individus au départ identifiés comme étant de la mafia chinoise vont venir chercher des noises à Renka.
 

Par sylvestre, le 8 septembre 2009

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Notre avis sur KEN-ICHI #11 – Le disciple ultime

Des muscles et des formes féminines bien arrondies… Il y a des choses qui, semble-t-il, ne changeront jamais, dans la série Ken-Ichi ! Il en va de même pour le plaisir qu’on aura à lire ce tome qu’on peut diviser en deux parties principales : celle qui met en scène un maître de dojo grand fan de Sakaki et celle qui marque le retour de la jolie Renka, venue mettre un peu de piment dans les relations au sein du dojo Ryozampaku.

Avec des dessins clairs et donc agréables, avec un humour certain et avec des scènes de bagarres insolites autant qu’utopiques (regardez, page 56, les pauvres victimes de Sakaki pendues au plafond après avoir reçu un coup qui les y a projetées !!!), on a droit depuis le début de la série à un travail sérieux et homogène de la part du mangaka Shun Matsuena. Enfin, « sérieux » dans le sens assiduité ; parce qu’il montre à chaque volume qu’il en connaît un rayon, côté rigolade et délire ! Ses personnages sont soit sérieux, comme Ken-Ichi dont la droiture est irréprochable, soit dingues comme les maîtres du dojo Ryozampaku qui apportent tous leur lot d’humour à la série, ou encore méchants comme savent l’être les ennemis des héros de ce style de séries !

Bref, le cocktail est fun. On ne lit pas Ken-Ichi pour apprendre les arts martiaux, pour draguer les filles ou pour gagner en sagesse ; c’est pourtant autant de notions qui y sont abordées de manière toute… manga ! Bonne lecture !
 

Par Sylvestre, le 8 septembre 2009

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