MUR DE PAN (LE)
La guerre de l'aura
Le mur de Pan dégage une aura opaque qui se déploit progressivement. A l’intérieur de cette aura ondiférique, tout mécanisme est neutralisé, c’est le Pays-Dôm !
Jusque là l’aura ne dépassait pas les remparts du 7 ème parallèle, mais là, la situation est grave, il se pourrait que ca soit la fin des civilisations concrètes !
Le chevalier Brissette, accompagné de la belle Mavel et de son fidèle Caboche se rendent donc à Myriad, au dela du 7 eme parallèle, dans le « monde réel » afin que Mavel puisse retrouver son parrain, le professeur Dermotte et ainsi commencer à accomplir sa destinée d’élue. Dans le Pays-Dôm, Ravel, aidée par Fiel, réussit à rassembler des troupes afin de profiter de l’expansion de l’aura et ainsi entrer en Myriad et abattre les mondes réels.
Pendant ce temps le rêveur de Pan rejoint Mavel et se propose de la mener au dela du mur de Pan à bord du Transmythique, le submersible de Dermotte, le seul engin mécanique qui résiste à l’aura de Pan !
Par fredgri, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2756001333
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Notre avis sur MUR DE PAN (LE) #2 – La guerre de l’aura
Je me rend compte combien cette série est dure à résumer, on passe à côté d’une multitude de micro-intrigues, on ne se rend pas compte de la richesse de ces planches etc. Bref lisez cette série par vous même aussi, vous entrerez dans un monde onirique très vaste, très complet, fruit d’une imagination incroyable !
Mouchel continue sans souffler de mettre les pierres de cette série dans ce deuxième album, Mavel est encore plus troublante, les femmes de manière générale sont tres intéressantes, plus complexes que les hommes dans « Le mur de Pan ». Par contre c’est vrai qu’il faut être très concentré, la lecture de cette série demande de la vigilence et de la souplesse d’imagination car c’est un univers complètement atypique, à mille lieux de ce l’on connait et je trouve que c’est en ça qu’il est fascinant, chaque album a un contenu qui serait certainement étiré sur 2 ou 3 albums par d’autres, c’est compact mais foisonnant aussi. De plus Mouchel utilise un language très recherché (parfois je me suis même demandé si il n’etait pas Québécois tant certaines expressions font bizarres !), très bavard, ce qui fait que la lecture demande aussi plus de temps !
Delcourt permettait à un artiste très particulier de s’exprimer en trois albums, c’est une démarche à souligner, d’autant plus que cette série n’a pas marché, encore une fois c’est dommage car nombre de lecteurs sont passés à côté d’une oeuvre singulière qui fait partie, à mes yeux, des plus grands chef d’oeuvre de la BD !
Alors penchez vous sur cette série avec attention et discernement ! 😉
Par FredGri, le 11 mai 2003
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