OLIVIER RAMEAU
La caravelle de n'importe où

L’instant est grave au pays de Reverose, le crieur public vient annoncer sur la place publique une croyable nouvelle (il va de soi qu’on demeure pétrifié à Hallucinaville devant quoi que ce soit de croyable, cela défie le bon sens…), la réserve de graines de Zénobisou s’épuise, menaçant comme chaque premier lundi du siècle l’essor de notre belle jubilation nationale en même temps que toute l’industrie pâtissière du pays. L’heure est vraiment grave !!!
La plan d’urgence est donc lancé, et une mission est depechée sur l’ile Hypothétique pour aller cueillir des graines de Zénobisou, le temps que les plantations reprennent des forces… Mais voilà, il faut 6 volontaires pour occuper les monstres de l’île…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur OLIVIER RAMEAU #4 – La caravelle de n’importe où

Et une nouvelle aventures pleine de vrais dangers et de bonnes frayeurs à nouveau au rendez vous. Imaginez un instant que la joie et la bonne humeur se perdent à Reverose, ce serait la fin de tout, et surtout la fin de la série, ce qui avouons le, n’est pas concevable, enfin pour ma part ;o) Voilà donc nos amis partis pour de nouvelles aventures pour ne pas perdre leur joie et leur bonne humeur.
C’est à se demander si Dany et Greg ne sont pas les meilleurs auteurs de BD du siècle juste pour une BD comme ça. C’est vrai, pensez-y, faire une bande dessinée qui soit à la fois bien dessinée, avec des dialogues savoureux où les auteurs se permettent parfois des petites incursions rudement amusantes, et ou l’histoire est basée sur les rêves, la joie, la bonne humeur. Bref, une intrigue toute simple à chaque fois. Un événement menace la bonne humeur et ce monde complètement loufoque, et il faut absolument l’empêcher, mais cela dans le plus exact désordre. Bref, une série bon enfant et loufoque s’il en est, qui serait capable de distraire un bourreau ;o)
Comme il est bon de rêver le temps de la lecture d’un album à tout cet univers où tout il est beau et tout il est gentil, où les méchants finissent gentils, et où tout s’arrange toujours. Ou l’argent n’existe pas, où il est interdit de vieillir, de se souvenirs des choses désagréables, bref, où c’est le bonheur.
Bref, en un mot comme en cent, Olivier Rameau la série, c’est que du bonheur !!!

Par Siam l'Archiviste, le 27 octobre 2003

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