OLIVIER RAMEAU
La trompette du silence

Cocon-le-vilain, géant de son état, et qui normalement dors la plupart du temps, s’est réveillé. Cela ne serait absolument pas grave s’il n’avait pas cette fâcheuse manie de souffler dans une trompette appelée la trompette du silence qui a la fâcheuse manie de figer les personnes, et à force, de les rendre idiots…
La première fois, Combe et Olivier Rameau sont épargnés, car ils étaient en train de se baigner, mais les fois suivantes quasiment personne n’en réchappe. Aussi donc notre petite troupe habituelle se rend chez le grand-pas-sage Ebouriffon, qui comme chacun le sait possède toujours d’exactes solutions.
Voici donc nos amis partis pour boucher la trompette du silence et mettre un terme à cette musique qui paralyse… Mais et si la vérité était toute autre ? …

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur OLIVIER RAMEAU #8 – La trompette du silence

Huitième album, et toujours autant de mal pour faire une critique constructive. C’est vrai, comprenez-moi, pauvre petit lecteur que je suis, et qui est tombé sous le charme de cette série pleine de chaleur, de joie et de bonheur. Comment ne pas se répéter d’une critique à une autre, et pourtant faire en sorte que vous autres surfeurs et lecteurs de BDs de surcroît (j’espère un tout cas, sinon vous êtes ici par erreur, ou par envie de découvrir le monde merveilleux du neuvième art … mais je m’égare). Et bien tout bonnement il n’est guère possible pour moi de vous livrer une critique argumentée et réaliste, sachant que même objectivement, je vais vous livrer les mêmes arguments que ceux utilisés dans les sept autres précédentes critiques…
Les dialogues et l’histoire sont rondement menés, et les dessins ne font que gagner en rondeur et douceur. Ajoutez à cela des couleurs vives et douces à la fois et vous aurez un bon aperçu de l’ensemble. Je tiens d’ailleurs à souligner la beauté des deux premières planches, qui sont merveilleuse dans leur graphisme, et prêtent vraiment à rire je trouve. Cette petite feuille sur Olivier Rameau, je la trouve … marrante, il n’y a pas d’autres mots. De plus, alors qu’on s’attendait à une fin qui découlait logiquement des propos tenus pendant les pages de l’album, elle est toute autre, nous donnant une nouvelle preuve de l’illogisme et de la surprenante imagination des auteurs. Il n’y a pas à dire, c’est de la bande dessinée comme je l’aime…
Je ne vais pas continuer à m’étaler honteusement encore bien longtemps, et je vous laisse avec cette seule recommandation : Lisez Olivier Rameau !!!

Par Siam l'Archiviste, le 9 décembre 2003

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