OLIVIER RAMEAU
Le canon de la bonne humeur
Vous connaissez les auteurs de cette histoire, ce sont des poètes du modèle courant, les voici d’ailleurs, au seuil d’un récit plus charmant encore que les précédents, qui s’emplissent l’âme de tendresse et d’émotion, la nature, le joli ruisseau, les petits oiseaux qui chantent. L’inspiration naît de ces sources enchanteresses… Le scénariste écrit, le dessinateur approuve, et s’envole à son tour sur les ailes enfiévrées de la création… Attention, cela commence …
Par un match de boxe, tout ce qu’il a de plus violent, ce qui n’est pas dans nos habitudes, pour être exact, mais attendez, oui, c’était une erreur de longueur d’onde, voici notre boxeur KO qui se retrouve au pays de Reverose durant son petit coma…
Mais Reverose ne semble pas tout à fait comme d’habitude, et on dirait que les personnages deviennent râleurs et bougons, ce qui sérieusement n’est pas sérieux… Une fois de plus, il va falloir remédier à la situation de manière rapide…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Éditeur :
-
Sortie :
-
ISBN :
2872651047
Publicité
Notre avis sur OLIVIER RAMEAU #9 – Le canon de la bonne humeur
Pour un peu, j’aurais eu peur qu’une histoire d’Olivier Rameau commence dans le vrai-monde-où-l’on-s’ennuie et cela m’aurait profondément navré pour tout dire très exactement. Mais non, ce n’est qu’une pirouette des deux papas d’Olivier Rameau pour introduire un nouveau personnage dans leur univers. Et pas n’importe quel personnage en plus, un boxeur, un vrai de vrai, qui détient un record mondial de K.O. … encaissés. Si si. Car ce boxeur a découvert qu’une fois assommé, il pouvait se rendre à Reverose, et y couler des instants heureux en compagnie de personnes qu’il apprécie.
C’est un épisode qui fait beaucoup interagir le monde réel avec celui des Reverosiens, et aussi les personnages bougons et acariâtres. Mais cela ne dure qu’un temps, puisque les albums d’Olivier Rameau se doivent de terminer bien. Et celui-ci ne déroge pas à la règle…
Inutile de préciser que les dessins, les couleurs, l’histoire et les textes sont toujours aussi joliment menés que dans les autres albums, ce qui ne saurait être autrement d’ailleurs ;o)
Bref, de nouveau une lecture très agréable, qui me conduit tout naturellement vers le tome suivant, qui paraîtrait-il, serait différent, mais je ne vous en dit pas plus, vous lirez vous-mêmes la fiche correspondante ;o)
Par Siam l'Archiviste, le 9 décembre 2003
Dans la même série
OLIVIER RAMEAU