WALKING DEAD
L'Appel aux Armes
Les Chuchoteurs pensent qu’ils ont réussi à semer la terreur. Malheureusement, c’est tout le contraire. La communauté, toujours menée par Rick, est en colère. Ils veulent se venger.
Le monde va rebasculer vers le chaos, la violence et le sang, alors qu’un semblant de quiétude et de normalité semblait s’installer dans la communauté.
Le jeune Brandon, qui a perdu sa mère, tuée par les Chuchoteurs, et son père, tué par Rick, est en colère. Et cette colère va lui faire comettre un acte qui risque d’avoir de graves conséquences…
Par berthold, le 24 mars 2017
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Scénariste :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756077048
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Notre avis sur WALKING DEAD #26 – L’Appel aux Armes
Ce tome reprend les The Walking Dead 151 à 156.
Après le choc que fut le meurtre sauvage de certains membres de la communauté de Rick et qui a surpris ses membres, l’heure est à la colère. Rick se lance dans une nouvelle guerre contre les Chuchoteurs.
Dans ce tome, Kirkman s’intéresse aux pensées des survivants, à leurs réactions face à cet acte violent. Nous voyons Rick entrainer ses troupes pour faire face à une nouvelle attaque. A moins que derrière tout cela, il y est un autre plan.
Ce nouvel opus se penche sur Negan, le prisonnier de Rick. Il joue un rôle important dans ce récit. Je ne m’attendais pas à cela, je dois bien avouer. Ce perso n’a pas fini de nous étonner !
Nous en apprennons plus sur Alpha, la chef des Chuchoteurs, sur leur mode de vie et leur loi. Là aussi, Kirkman va loin dans l’horreur.
Avec Walking Dead, l’être humain ne sort pas toujours grandi par ses actes.
Le graphisme de Charlie Adlard et de Stefano Gaudiano reste toujours au top. Quelques bonnes scènes gores pour choquer de temps en temps le lecteur, quelques grandes pages pour leur en mettre plein la vue et quelques séquences intimistes permettent aux lecteurs d’apprécier ces moments.
Après tant d’épisodes et de numéros, Kirkman continue de renouveler sa série et nous donne envie de découvrir la suite. Walking Dead est un excellent feuilleton, un chef d’oeuvre du genre.
Par BERTHOLD, le 24 mars 2017