WALKING DEAD
Monstrueux
Rick et ses compagnons sont toujours retranchés dans le pénitentier alors que les zombies les encerclent.
Un jour, alors que Rick, Glen et Michonne font une sortie pour récupérer de l’essence sur des voitures dehors, ils aperçoivent un hélicoptère qui s’écrase. Rick décide d’aller voir sur le lieu du crash s’il n’y a pas de survivants.
Arrivé à l’endroit, ils ne trouvent personne mais des traces semblent indiquer que du monde est passé par là. Alors que la nuit tombe et au lieu de retourner au pénitentier, ils vont suivre ces traces.
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782756014685
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Notre avis sur WALKING DEAD #5 – Monstrueux
Tiens, alors que le Maître du film de zombies, Georges A.Romero sort un nouvel opus en salles avec Diary of the living-dead (le 25 juin 2008) Delcourt propose le cinquième volume de cette série Walking Dead, où les hommes tentent de survivre face au fléau qui dévaste la terre et cette invasion de morts-vivants.
Je dois bien avouer que Walking Dead est une des meilleures séries du genre. A chaque lecture, je suis pris par l’histoire et l’epouvante m’envahit.
Avec ce cinquième tome, Robert Kirkman, le scénariste d’Invincible, nous surprend encore et toujours. Il amène ces (anti-)héros là où on s’y attend le moins. Ici, nous allons voir comment Rick, Glen et Michonne vont découvrir qu’il peut exister encore plus monstrueux que les morts-vivants. Et là, on se dit que les plus dangereux ne sont pas forcément ceux que l’on croit. De même qu’à l’extérieur, le drame se joue, du côté du pénitentier, la tension monte. Les relations entre certains "pensionnaires" se dégradent. Et là, encore, Kirkman joue avec nos nerfs.
Charles Adlard est en train de devenir un spécialiste du comics de zombies. Son dessin en noir et blanc est assez éblouissant. Les scènes d’horreur sont assez marquantes. Mais je ne parle pas que des scènes où des zombies attaquent des hommes. Non, il y aussi ces scènes entre les êtres humains. Il faut voir quelle tension ressort de la scène de violence que subit Michonne. On n’a pas besoin de voir, tout est sous-entendu, mais c’est là que ça marque, c’est là où l’horreur est présente. Dès la dernière page, on a envie de connaître la suite, de voir ce qui va arriver.
Nous avons droit aussi aux couvertures originales.
Walking Dead est une oeuvre assez forte, puissante et qui marque nos esprits. Une oeuvre à ranger aux côtés des films de Romero.
Mais, un conseil : âmes sensibles s’abstenir !
Par BERTHOLD, le 17 juin 2008