YU-GI-OH
Volume 5

A Kaibaland où il a été invité de manière quelque peu forcée, Yûgi doit terminer les épreuves qui jalonnent sa progression en réussissant les deux dernières : les tableaux 4 et 5 du jeu "Death-T" dans lesquels il aura respectivement pour adversaires Mokuba, le frère de Kaiba, puis, enfin, ce dernier. Le premier sera un jeu de plateau qui verra les pions évoluer sur une sorte d’échiquier. Le second et dernier sera une partie de cartes "Magic and Wizards".

Après ces duels et les enseignements qu’il faudra en tirer, Yûgi mettra au défi un conseiller d’orientation de son lycée pour récupérer ce que ce dernier lui a confisqué : un cadeau tout juste fait par Anzou.

Enfin, Jôno-Ushi participera à un grand jeu télévisé où la coquette somme de 1 million de yens est promise au vainqueur.

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur YU-GI-OH #5 – Volume 5

A regarder le sommaire et la liste des quelques chapitres qu’il aligne, on voit à la ponctuation utilisée (plein de points d’exclamation !) que le dynamisme est de mise pour la suite des événements.

Une très longue partie de ce tome va nous raconter comment Yûgi sort vainqueur des épreuves de Kaibaland. On y trouvera des passages importants, comme la découverte par ses amis que Yûgi est dans la peau d’un "double" lorsqu’il invoque les pouvoirs de son pendentif fétiche, le puzzle millénaire. On sera également laissés pour compte avec certains doutes : Mokuba et Kaiba vont-ils changer de manière de voir les choses ? Resteront-ils à jamais des ennemis de Yûgi et de sa petite bande de copains ?

La force que détient Yûgi reste (c’est ce que nous dit l’auteur) le fait qu’il peut compter sur ses amis. On sourira quand même en voyant le déroulement des choses : le petit héros a quand même une chance du tonnerre et réussit à créer des combinaisons de cartes, pour s’en sortir, que jamais personne n’a réussi à faire avant lui. Waouh, quel as ! 😉

L’épisode d’après met en scène un autre gadget que nos amis les nippons ont tenté (avec succès ?) de faire arriver sur les marchés occidentaux : une sorte de boîtier électronique qui peut communiquer avec celui des autres afin de voir si les gens pourraient s’entendre entre eux. Genre le truc qui bippe pour te dire que celui (ou celle) que tu croises est l’homme (ou la femme) de ta vie et que, sans ton machin électronique, tu serais passé à côté sans jamais le savoir !!! Marrant, mais c’est là où on se rend compte que la BD peut devenir une véritable arme publicitaire pour refourguer des tas de trucs aux plus… "rêveurs", dirons-nous ! 😉

Et puis allez, un dernier petit épisode pour la forme où un pied de nez est fait aux émissions télé où ce n’est pas parce que tu es le plus intelligent que tu ne peux pas gagner des sommes astronomiques. Quoique… Jôno-Ushi sortira-t-il riche de cette expérience ? Vous le saurez en lisant cette BD ! Mais sachez tout de même que ce chapitre aura donné des précisions sur la personne de Jôno-Ushi dont on apprendra que le père est alcoolique et criblé de dettes. Avec ça, si le lectorat ne s’identifie pas… 😉

Allez, bonne lecture !

Par Sylvestre, le 4 avril 2006

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