ZORN ET DIRNA
Les griffes de la Meute

Voilà un troisième tome excellent. Cette série est vraiment superbe et c’est à chaque fois un réel plaisir de se replonger dans l’histoire et de retrouver les personnages. Le couple d’auteur, Morvan/Bessadi a vraiment réussit a réaliser une bonne série.
Entre horreur, fantastique et humour, le mélange de ses trois thèmes est très réussi. Ce troisième tome cloture à merveille cette série, et je pense ne pas me tromper en disant que l’on verra probablement une suite un de ces quatre matins et franchement ça serait très bien.
Dans ce troisième tome, nous retrouvons donc nos 4 personnages principaux, et leurs liens de parentés sont dévoilés, tout comme la raison du pouvoir des deux enfants Zorn et Dirna.
Du côté du dessin Bessadi maitrise à la perfection son style, et il n’y a plus aucun doute (y’en a t-il eut un jour?) sur cet auteur, il fera un long chemin dans le monde de la BD.

Quand à Morvan, plus la peine de le présenter, ni de dire qu’il est un scénariste hors pair. Cette histoire est très largement maîtrisée et menée d’une main de maître. Sans aucun doute l’un de ses meilleurs scénarii, tout du moins pour moi.
Vous l’aurez donc tous compris, cette série fantastique est à possèder rapidement…

Par AUB, le 26 juin 2005

Belle conclusion pour ce joli tryptique!
Le premier album m’avait enthousiasmé, mais le deuxième m’avait quelque peu laissé sur ma faim.
Ce dernier tome est donc pour moi une belle surprise! Je trouve déjà que les dessins se sont améliorés ; non qu’ils étaient mauvais, loin de là, mais voilà : ils sont encore meilleurs. Sans doute les couleurs sont pour quelque chose dans cette impression.
Mais j’ai surtout beaucoup aimé le déroulement et la conclusion : voir enfin toute notre petite famille réunie fut un réel bonheur… même si pour cela, elle va vivre un très dur sacrifice, qui personnellement m’a beaucoup ému, et j’ai versé ma petite larme. En 4 petites cases sublimes, Bessadi réussit à faire passer une émotion incroyable!
Bref, c’est que du bonheur!

Par PATATRAK, le 2 septembre 2005