Petit garçon neuro-atypique, Sacha vit dans un monde imaginaire qu’il s’est totalement créé. Son esprit ne cesse d’imaginer des aventures plus folles les unes que les autres pour ses personnages et pour lui-même. A la recherche d’une carte qui aidera Mitsuo, le héros de son monde, à trouver la planète Néolia, il tente avec son équipage de s’échapper des griffes des monstres qui sont à leur poursuite.
Sacha, est plongé dans son univers… L’extérieur ne comprend pas ce qu’il vit. Reçus a l’école par sa professeure, celle-ci annonce à ses parents que le niveau scolaire de Sacha est catastrophique et que l’institution ne pourra pas le garder, car il demande trop d’attention.

Cette fois-ci, il ne s’agit pas simplement de le changer d’école, mais bien de le mettre dans un centre spécialisé, afin qu’il soit pris en charge… Emma, la maman de Sacha refuse cette solution et s’enfuit avec son enfant, laissant Malo, le papa, en plein désarroi.

A peine arrivée à New York, lors d’une soirée, Sara croise le regard de Jack Malone, un journaliste de l’armée américaine. L’amour au premier regard, l’amour fou, l’amour d’une nuit, la passion d’une vie. Mais ce n’est pas si simple que cela…
L’autre homme de la vie de Sara, c’est son frère Eric. Un artiste qui a approché le communisme avant de s’en éloigner. En pleine chasse aux sorcières, les autorités chassent les communistes et les homosexuels qui pourraient nuire à la Patrie.

Anna Kowalski est devenue une pianiste mondialement reconnue. En 1957, elle retourne, à l’occasion d’un concert, sur sa terre natale polonaise. La jeune femme espère toujours retrouver son frère dont elle a été séparée durant la deuxième guerre mondiale. Un traumatisme qui continue à la hanter…

(Regroupe les Judas 1 à 4)
Alors qu’il vient de trahir Jésus, Judas met fin à ses jours et se retrouve dans une sorte de Purgatoire ou il croise Lucifer… Ce dernier tente alors de convaincre qu’il n’est responsable de rien, que Jésus l’a manipulé depuis le début et qu’il entende « la Vérité »…

Le 16 octobre 1984, les gendarmes repêchent dans la Vologne, une rivière des Vosges, le corps d’un enfant de quatre ans, son bonnet rabattu sur son visage, ses pieds et ses mains liés. C’est le petit Grégory Villemin. Débute alors d’une enquête qui, 40 ans plus tard, n’a pas fini de faire parler d’elle.

Une lettre anonyme arrive le lendemain de la macabre découverte au domicile des parents de Grégory : « J’espère que tu mourras de chagrin le chef. Ce n’est pas ton argent qui pourra te redonner ton fils. Voilà ma vengeance. Pauvre con. »